Paysages urbains : rêve et réalité
Présentée au Domaine de Chamarande, l’exposition « Paysages urbains : rêve et réalité » interpelle sur l’empreinte de notre habitat sur l’environnement.
A35 km au sud de Paris, le Domaine de Chamarande est une belle idée de sortie. Jusqu’au printemps, l’exposition « Paysages urbains : rêve et réalité » investit le château de Chamarande, avec une sélection de plus de cent photographies réalisées par seize artistes français et internationaux.
De Moscou à Toronto
C’est un large panorama des évolutions urbaines engagées depuis le milieu du XXe siècle qui est proposé au public, avec un focus sur les transformations et les aménagements menés en Essonne. De Moscou à Toronto, de Sélestat à Marseille, la diversité des paysages est frappante, et confronte souvent notre idéal à la réalité.
Aujourd’hui et demain
Entre documentaire et projection d’un futur rêvé, c’est un panorama en images des aménagements urbains menés ces soixante-dix dernières années qui nous montre comment l’empreinte de l’homme, et notamment celle de son habitat, transforme en profondeur notre environnement.
Le rêve et la réalité
D’un bout à l’autre du globe, de Moscou avec Thibaut Cuisset à Toronto avec Robin Collyer, en passant par l’Essonne avec Claire Chevrier, l’exposition nous entraîne dans un voyage imagé, aux frontières du rêve et de la réalité.
Plus d’infos : chamarande.essonne
Domaine départemental de Chamarande - Essonne / Ile-de-France
38 rue du Commandant Arnoux
91730 Chamarande
Tél. : 01 60 82 52 01 ou 01 60 82 26 57
Accès : Situé à 35 km au sud de Paris
Toutes les manifestations et activités sont accessibles gratuitement
Accessible aux visiteurs à mobilité réduite
Ouverture :
Parc : tous les jours, novembre-janvier, 9h-17h / février-mars, 9h-18h / avril-mai, 9h-19h
Expositions : mercredi, 14h-17h / samedi et dimanche, 13h-17h
LE DOMAINE DE CHAMARANDE
Le Domaine départemental de Chamarande est un site patrimonial paysager et culturel unique en son genre. Au XX siècle, successivement foyer originel du mouvement scout en France, coopérative ouvrière de production avec Auguste Mione, et groupement d’associations dans les années 1970, il a constitué un lieu d’expérimentation et d’utopies en dialogue constant avec la société.
Dès 2001, le Conseil départemental de l’Essonne a voulu faire de ce site emblématique, propriété du Département depuis 1978 mais fermé au grand public, un équipement culturel phare de l’Essonne, chargé de « renouer avec la création artistique contemporaine à partir de son cadre naturel ».
Le plus important jardin public de l’Essonne (98 hectares) réunit ainsi aujourd’hui, dans un espace patrimonial et paysager labellisé « jardin remarquable », un centre artistique et culturel, les Archives départementales et un centre d’hébergement pour les scolaires, le centre Auguste Mione.
La gratuité du site, sa facilité d’accès avec une gare RER à 200 mètres, ses paysages variés, son ouverture 365 jours par an et sa programmation éclectique, exigeante et accessible à tous, tendent à en faire un véritable espace de démocratisation culturelle.