« En attendant Bojangles » fait un tabac !
Le premier roman d’Olivier Bourdeaut lauréat du prix du Roman des étudiants France-Culture est la grande surprise littéraire du moment.
A 35 ans, Olivier Boudeaut, jeune écrivain discret et bohème vient de faire une entrée remarquée dans le monde littéraire en plaçant la barre très haut… Les critiques sont unanimes, le public se régale, plus de 50 000 exemplaires ont déjà été vendus depuis sa parution en janvier dernier et des droits de traduction ont été cédés dans plus d’une dizaine de pays… Pour beaucoup, ce n’est qu’un début car le premier roman d’Olivier Bourdeaut est un véritable coup de maître ! « En attendant Bojangles » fait passer le lecteur par tous ses états et s’inscrit dans la lignée d’un certain Boris Vian avec une prose qui n’est pas sans rappeler celle de « L’écume des jours »…
À propos du livre
Sous le regard émerveillé de leur fils, ils dansent sur «Mr. Bojangles» de Nina Simone. Leur amour est magique, vertigineux, une fête perpétuelle. Chez eux, il n’y a de place que pour le plaisir, la fantaisie et les amis.
Celle qui donne le ton, qui mène le bal, c’est la mère, feu follet imprévisible et extravagant. C’est elle qui a adopté le quatrième membre de la famille, Mademoiselle Superfétatoire, un grand oiseau exotique qui déambule dans l’appartement. C’est elle qui n’a de cesse de les entraîner dans un tourbillon de poésie et de chimères.
Un jour, pourtant, elle va trop loin. Et père et fils feront tout pour éviter l’inéluctable, pour que la fête continue, coûte que coûte.
L’amour fou n’a jamais si bien porté son nom.
L’optimisme des comédies de Capra, allié à la fantaisie de L’Écume des jours.
« En attendant Bojangles » d’Olivier Bourdeaut
Editions « Finitude » Bordeaux
160 pages
Prix : 15,50 euros
En savoir plus sur l’auteur :
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Des critiques éloquentes
Retenez bien le nom de cet inconnu: Olivier Bourdeaut. A 35 ans, il sera bientôt fameux et son premier roman va faire un tabac. […] Dans une prose chantante, il fait sourire les larmes et pleurer l’allégresse. Il mérite le succès qui va fondre sur cette fable extravagante et bouleversante.
Jérôme Garcin, L’Obs.
Voici un premier roman qui m’a emballé: c’est extravagant, c’est léger, c’est pétillant. Un coup de maître.
François Busnel, La Grande Librairie
Olivier Bourdeaut entre en littérature avec une histoire simple, belle, folle et triste. Son récit navigue entre la légèreté du Vian de « l’Écume des jours » et le roman d’apprentissage à la Salinger.
Bruno Corty, Le Figaro.
On retrouve ici le sens du rythme et de la prose imagée de « l’Écume des jours » de Vian, et la légèreté du désespoir de « Tendre est la nuit » de Fitzgerald. À l’instar des deux classiques, « En attendant Bojangles » se lit comme une belle histoire d’amour fou.
Léonard Billot, Les Inrockuptibles.
Bien rythmé, ce livre a tout pour plaire sans avoir l’air de le vouloir. Eh oui, il plaît. Et mieux: il touche.
Valérie Marin La Meslée, Le Point.
Ce livre a tout du petit bijou fédérateur. Dans la lignée de Boris Vian, l’inventivité et le style chamarré d’Olivier Bourdeaut font mouche.
Baptiste Liger, L’Express.
Olivier Bourdeaut fait swinguer son premier roman. L’événement rassérénant de la rentrée de janvier est le succès surprise de ce primo romancier.
Johanna Luyssen, Libération.
Dans cette fable pétillante comme une flûte de champagne, la mort est un mensonge et devient prétexte à poésie.
Christine Ferniot, Télérama.